Les mesures de la réforme du choc des savoirs inquiètent de par :
- la dégradation des conditions de travail, par la grande insuffisance des moyens et la surcharge des classes.
- L’organisation des cours de mathématiques et de français en groupes de niveau impose une politique de tri social au détriment des élèves les plus fragiles, des élèves en situation de handicap, des élèves allophones, des élèves rencontrant des difficultés scolaires et sociales.
- la mise en place d’un accès conditionnel à la seconde générale, technologique ou professionnelle (DNB obligatoire) : la fin d’une même école pour tous !
- la dégradation des emplois du temps des élèves et des personnels.
- les suppressions d’options et une baisse du volume horaire de l’enseignement des langues et cultures de l’Antiquité, la fragilisation de la chorale, la réduction ou la suppression d’enseignements disciplinaires, de dédoublements et de dispositifs approuvés par les personnels…
- la remise en cause de la liberté pédagogique avec des méthodes, des manuels et des progressions communes imposés.
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